| | Date 28 avril 2009 | Espagne E 4 GR 7 | Etape : Jódar - Quesada |
Distance : 34 kms
Temps :
Dénivelé : de + 473 m. à +436 m.
Le ciel est gris, au départ de l'hôtel. Pour rejoindre le début du parcours, j'ai presque 3 kms à effectuer sur la route nationale, peu fréquentée à cette heure matinale.
Je n'ai pas vu l'amorce de la piste après la zone industrielle et je prends le chemin du cimetière.
J'ai presque 4 kms de route à effectuer pour croiser l'itinéraire officiel. Tout le parcours s'effectue au travers des oliveraies.
Il y a peu de dénivelé au programme du jour, et l'on peut considérer que c'est une étape de liaison.
Au lever du soleil, les nuages l'empêchent de me réchauffer. L'astre ne fait que de timides apparitions.
Plus j'avance sur cette route, plus je suis décidé à faire le parcours du jour par la route, pour ne pas me « prendre la tête » avec des problèmes de direction du chemin. Hier soir, en examinant le parcours, j'ai remarqué qu'une route permettait de rejoindre Quesada, avec un même nombre de kilomètres.
Passé la gare de Quesada, qui se trouve à plus de 19 kms de cette ville, mon choix est fait. Je suivrai la route.
Au lieu de passer au nord de la « Sierra del Toya », je passerai au sud.
Depuis le cimetière de Jódar, je suis sur la route A 322, et je la suivrai jusqu'à la trentième borne, fin de celle-ci, un peu avant Quesada !
Après le 18ème kilomètre, c'est plutôt une piste qui a été asphaltée, car il n'y a aucune circulation sur celle-ci.
Le parcours s'effectue à travers des oliviers, jeunes plantations ou arbres vénérables.
La route joue un peu les montagnes russes, sauf vers les derniers kilomètres pour franchir la « Sierra del Toya ». Au sommet, la vue est superbe, et je peux remarquer à l'horizon le « Puerto de la Mata » que j'ai franchi il y a deux jours.
Puis c'est la descente vers Quesada, mais le village ne se laisse découvrir qu'au dernier moment. Il me reste encore 1,5 km avant d'arriver au bourg, sur une route à grande circulation.
Je n'ai pas à chercher l'hôtel car, par chance, il se situe à l'entrée du village.
Dès le repas pris et la sieste terminée, je me mets en quête du point de départ de demain. La recherche est longue, mais je pense avoir trouvé les 3 premiers kilomètres d'un parcours qui en comporte 17. J'ai un peu l'impression que ce dernier jour du périple ne sera pas facile.
Si la ville de Torres n'offre pas un intérêt particulier, le vieux quartier mérite d'être vu. Les ruelles sont très étroites, et les habitants s'appliquent à mettre beaucoup de plantes et de fleurs pour égayer les murs tout blancs. Deux entrées du quartier ont conservé « l'arco » qui est particulièrement décoré.
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